Crise alimentaire, crise écologique et santé publique – une seule solution…

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La récente imposture sur la vaccination contre la grippe A aura au moins eu un effet positif : avoir révélé que la plupart des spécialistes de l’OMS (tous ?…) qui conseillent les gouvernements en leur recommandant d’acheter beaucoup de vaccins, sont à la solde des grands laboratoires pharmaceutiques, c’est-à-dire des marchands de vaccins !

Dans le même ordre d’idées, on est en droit d’émettre des doutes sur l’avis des pseudo-spécialistes qui soutiennent d’un air docte et la mine grave que pour nourrir 9 milliards d’êtres humains en 2040 il va falloir recourir massivement aux OGM, aux fertilisants, et à tout ce que l’ingénierie agrochimique est, et sera capable d’inventer comme poisons qui sont autant de bombes à retardement pour la santé publique et l’environnement.
Et si on pariait que ces spécialistes-là sont également rémunérés par les Monsanto et consorts…

Je vous assure que pour nourrir 9 milliards d’êtres humains comme je me nourris, non seulement il n’est pas nécessaire de produire davantage de « nourriture » (terme qui reste à définir… Voir plus loin), mais on peut même en produire beaucoup moins !…

Evidemment, si on veut nourrir le monde entier avec des tournedos, des Big Macs et du tiramisu tous les jours, il va falloir continuer de détruire nos forêts pour cultiver toujours plus de céréales qui serviront à nourrir tout le bétail dont on aura besoin pour la viande et le lait…

Mais entre temps, notre planète sera devenue stérile, entièrement polluée, et donc invivable à cause des ravages provoqués par ce même élevage intensif de bétail.
Car le plus grand pollueur de ce triste monde, ce n’est pas l’automobile, ni l’industrie lourde, c’est l’agriculture intensive, et l’élevage !
La nocivité d’un régime alimentaire à base de produits animaux, de lait (production super-intensive), de sucre (culture super-intensive) a été amplement démontrée. Il n’existe plus aujourd’hui aucune raison de continuer à s’alimenter de cette façon, si ce n’est la force de l’habitude et la prégnance des clichés ancestraux.

Tiens, tiens… Les aliments les plus nocifs pour la santé sont aussi ceux qui engendrent le plus de dommages à l’environnement…
Alors, pour que cette planète puisse nourrir tous ses habitants et se régénérer, il suffit de consommer moins de viande, moins de sucre, moins de lait, moins de café (autre culture intensive). Et pourquoi pas… plus du tout ?!

Il faut favoriser tout ce qui est produit localement et à échelle humaine. En finir avec la mode des produits exotiques venus de l’autre bout de la planète, de pays pauvres où ces cultures intensives ont des conséquences sociales et environnementales désastreuses. Il faut introduire les graines germées –ces trésors de bienfaits si faciles à produire chez soi – dans notre alimentation.

Autrement dit, se nourrir d’aliments plutôt que de produits alimentaires… La différence ? Les uns poussent dans la nature, les autres poussent… dans les usines et les batteries de l’élevage intensif ! Un tel mode de vie ne comporte que des avantages : pour le porte-monnaie, pour la santé de chacun, et celle de la planète.

Si nous voulons perpétuer le mode de vie insoutenable qui est le nôtre depuis quelques dizaines d’années, nous courons à notre perte. « Un autre monde est possible »…, mais seulement en changeant d’abord notre façon de nous alimenter.
La solution aux problèmes cruciaux de la planète est là, à la portée de chacun de nous.
Tout paraît plus simple, tout d’un coup, n’est-ce pas ?

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