Libérons la santé !

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Notre santé est chose bien trop importante pour la confier aux médecins.
Voltaire

La médecine est un des plus grands prédateurs de l’espèce humaine, un fléau majeur de notre temps.
La iatrogénèse (problèmes engendrés par la pratique médicale : erreurs de diagnostic, erreurs de prescription, négligences diverses, effets indésirables des traitements, infections nosocomiales…) tue chaque année des millions de personnes dans le monde.

Des livres récents de spécialistes de la santé (malheureusement pas traduits en français) révèlent l’échec patent du système médical, aujourd’hui quasi-universel, issu du dogme pasteurien.
Je n’en citerai que deux : Death by medicine, (La mort par la médecine) de Gary Null, et Death by prescription (Mort sur ordonnance), du Dr Ray Strand.
Les titres sont éloquents… et les chiffres stupéfiants : en 10 ans, la médecine américaine a tué plus de gens que toutes les guerres auxquelles les Etats-Unis ont participé dans toute leur histoire!…

Le JAMA –Journal of American Medical Association, une des plus importantes revues médicales américaines, a cité la médicine comme la 3ème cause de mortalité dans les pays riches (26-07-2000).

Et on ne peut reprocher à cette institution qu’est le JAMA d’exagérer…

L’humanité semble vouloir aujourd’hui faire les premiers pas vers la libération d’un certain nombre de jougs sous lesquels elle a vécu passivement depuis des temps immémoriaux.

Nous croyons être aux commandes de notre vie, mais nous sommes en fait le jouet de notre dépendance servile envers « ceux qui savent », ces diplômés divers, investis d’une mission supérieure, censés détenir des connaissances susceptibles de nous libérer de nos maux.

Depuis toujours, les religions s’étaient approprié la spiritualité, avaient fixé précisément les conditions d’accès au paradis et au salut divin. « Faites ce qu’on vous dit et vous serez sauvé »

Nos gouvernants se sont approprié les affaires publiques… « Je vais résoudre tous vos problèmes, laissez-moi faire ».

De la même façon, le système médico-sanitaire actuel (médecine, pharmacie, agrochimie…) a fait main basse sur la santé. Il entretient la déresponsabilisation du « consommateur de santé » et sa soumission. « Faites ce qu’on vous dit et vous serez guéri. »

Le temps est venu de reprendre possession de notre vie, d’affirmer notre liberté de pensée et de choix.

Dans ce processus, la libération de la dictature médicale s’impose comme une priorité.

Mais attention ! Croyant nous libérer de ce problème, nous courons le risque de simplement le transposer vers une autre dépendance : celle, récente, envers les médecines douces (complémentaires, alternatives… !), et les thérapeutes de tout poil.

Rien ni personne ne guérit ! Aucun produit, aucun système, aucune thérapie.
Et surtout pas les médecins, qui s’efforcent de faire disparaître des symptômes morbides pour que le patient puisse continuer de vivre tranquillement sans rien changer à sa vie, en faisant perpétuellement les mêmes erreurs !

La santé ne peut être que le résultat d’une vie vécue en harmonie avec les lois de la vie.

Tout ce que nous avons à faire, c’est favoriser le travail de la nature en nous mettant simplement dans les conditions les plus favorables pour qu’opère le formidable pouvoir d’auto-guérison qui réside en chaque être vivant.

Ces conditions sont : le repos physique (absence d’activité et de nourriture), le repos mental (absence de stress, de soucis), le repos émotionnel (solution des conflits relationnels, avec autrui ou avec soi-même, et des problèmes existentiels).

Certaines pratiques de santé (thérapies douces…) peuvent bien sûr être associées selon les goûts, les besoins et les affinités de chacun, mais avec la plus grande précaution car dans la masse des thérapeutes, souvent autoproclamés, rares sont ceux qui savent vraiment ce qu’ils font.

Par contre, le repos hygiéniste décrit précédemment ne prête à aucune confusion. Et dans une immense majorité de cas, il sera suffisant pour rétablir la santé.

Je ne suis pas consommateur de médecine, douce ou pas, officielle ou alternative, conventionnelle ou complémentaire, allopathique ou homéopathique…

Vous avez le choix : rester éternellement des brebis dociles, des patients, qui gobent sans réfléchir les sentences de nos Messieurs Diafoirus modernes et en subissent les graves conséquences, ou, par le plein exercice de votre propre capacité de discernement et de votre libre arbitre, vous libérer définitivement de la peur et renaître à la vie.

N’oubliez pas : l’accès aux soins de santé est de la responsabilité de l’Etat – la médecine urgentiste, réparatrice, orthopédique, peut être d’une grande utilité ; mais l’accès à la santé est une responsabilité individuelle.

L’assumez-vous pleinement ?

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